Stéphane Lissner, Directeur de l’Opéra national de Paris, Philippe Jordan, Directeur musical et Benjamin Millepied, Directeur de la danse, ont présenté ce mercredi 10 février 2016 la saison 2016/2017.
BALLETS
Stéphane Lissner, Directeur de l’Opéra national de Paris, Philippe Jordan, Directeur musical et Benjamin Millepied, Directeur de la danse, ont présenté ce mercredi 10 février 2016 la saison 2016/2017.
BALLETS
Las negociaciones sobre su partida se iniciaron hace mucho tiempo, pero ahora se consume la ruptura.
El coreógrafo Benjamín Millepied ha anunciado su renuncia al Ballet de la Ópera de París, poco más de un año después de que llegó con la promesa de sacudir de forma radical una de las compañías más antiguas y más grandes del mundo de la danza. En un comunicado, Millepied dijo que se iba «sólo por razones personales» y que a partir de ahora tendría mas tiempo para dedicarse «100% a la expresión artística y creativa».
Rien ne va plus entre le maître de ballet du Palais Garnier et les danseurs. Les négociations autour de son départ sont enclenchées depuis longtemps, mais la rupture est désormais consommée. Le mécénat pourrait en souffrir.
Cela couvait depuis des mois. Rien ne va plus entre Benjamin Millepied et le ballet de l’Opéra de Paris. Le documentaire « La relève » que Canal Plus avait diffusé fin décembre, dans lequel le danseur prenait la liberté de critiquer tout ce qui avait été fait avant lui, était un signe avant-coureur. Mal reçu en interne, il avait aussi choqué en externe. L’ex-danseur étoile du New York City Ballet, devenu patron de la danse à Garnier, émettait même des doutes sur le fait que le ballet de l’Opéra de Paris méritait une place sur le podium des meilleures compagnies de danse au monde… Gênant quand le documentaire est une coproduction signée avec… l’Opéra de Paris.
BENJAMIN MILLEPIED, JEROME ROBBINS, GEORGE BALANCHINE nouveau spectacle
Avec George Balanchine et Jerome Robbins, c’est à ses maîtres que Benjamin Millepied a souhaité rendre hommage : hommage à deux très grands chorégraphes, tous deux d’origine russe, qui ont emmené l’école américaine et la danse en général vers des sommets rarement atteints. Avec Opus 19 / The Dreamer, le répertoire du Ballet de l’Opéra s’enrichit d’une pièce d’une grande élégance sur le Concerto pour violon n°1 de Serguei Prokofiev. Le rêve éveillé d’un jeune homme et son contrepoint irréel imaginés par Jerome Robbins en 1979.